Sophie Marceau semble avoir bien fait de ne pas faire sa vie avec le philosophe Vincent Cespedes, repéré à ses côtés il y a quelques années.
Invitée de Philippe Vandel sur Europe 1, Charlotte de Turckheim est revenue sur son idylle avec Jean-Christophe Cambadélis, qu’elle qualifie de "bombasse".
« C’était plus qu’une bombasse, c’était l’un des plus beaux mecs que j’ai jamais vus de ma vie. C’était une bombe. Mais ça se voit encore je trouve. Il a un peu vieilli, un peu grossi, mais on voit quand même que ça a été un très très bel homme. Ce n’est pas que ça a été un très bel homme, ça a été une bombe », confie-t-elle.
L’actrice explique avoir été larguée comme une vieille chaussette dans le RER, peu avant une réunion politique.
« Il était très trotskiste à l’époque. Et au dernier moment, il s’est dit que ce n’était pas possible d’emmener une fille qui s’appelait Anne-Charlotte de Turckheim », se rappelle-t-elle.
C’est avec lui, qu’elle a eu son premier baiser ’dans le jardin de sa maison’. Jean-Christophe Cambadélis, qui à l’époque était un étudiant ’ultra à gauche’ est venu camper chez la comédienne car ’leurs parents travaillaient ensemble’.
’J’ai vu sortir de la tente un espèce de bombasse, il était d’une beauté’, racontait une autre fois Charlotte de Turckheim, avant de préciser que leur histoire ’a duré assez longtemps’.
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