Depuis plusieurs années, Claire Chazal a décidé de préserver sa vie privée. Si elle a parfois ouvert une porte sur son intimité, c’était par choix et non par obligation. "J’ai consenti à en parler un peu", confie-t-elle avec une certaine réticence.
Dans une interview accordée à "Paris Match" et menée par la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa, Claire Chazal se souvient de la réaction inattendue de sa mère à l’annonce de sa grossesse.
L’ex journaliste de TF1 a mis au monde en 1995, un fils. François, fruit de sa relation avec Patrick Poivre d’Arvor.
Cette grossesse n’avait pas été perçue d’un bon œil par la mère de Claire Chazal, Josette, comme elle le confirme dans "Paris Match" dans le cadre d’un entretien mené par Marlène Schiappa.
"Mes parents ne m’ont pas jugée à l’aune d’une morale rétrograde, mais en fonction de leurs propres peurs", a confié Claire Chazal à la Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes.
La toute première phrase de ma mère, quand, à 37 ?ans, je lui ai annoncé ma grossesse, a été : ’Donc, tu vas perdre ton emploi.’ Et la deuxième : ’Tu vas tellement changer physiquement que tu ne pourras plus être à l’antenne.’".
"Or, j’ai présenté le journal jusqu’à la veille de l’accouchement !", rappelle Claire Chazal.
François Poivre d’Arvor a toujours fait montre de discrétion, comme le rappelait son père dans une interview accordée à VSD en 2016.
"François a toujours détesté l’hyper exposition de ses parents, confiait Patrick Poivre d’Arvor à l’hebdomadaire. Il est certain qu’à un moment comme beaucoup d’adolescents, il a voulu couper le cordon et il l’a fait en partant très loin. D’abord en Nouvelle-Zélande, puis à Londres et désormais à Hong-Kong. Il s’est retiré de la lumière, complètement. Il n’a jamais accepté d’être photographié ou de répondre à des interviews et je peux comprendre ça.
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