Même s’il est à la tête d’une belle fortune, en partie grâce à son épouse, Alexandra Pastor, David Hallyday s’attend au pire une fois cette histoire d’héritage terminée. De grosses sommes pourraient lui être réclamées.
« Le Parisien » dans son numéro daté du 7 septembre rappelle que les héritiers sont solidaires des dettes de défunt .
« En matière de succession, la règle est qu’on hérite des actifs et des passifs. C’est-à-dire du patrimoine, mais aussi des dettes, quelles qu’elles soient, sauf si on décide de renoncer à la succession ou de ne l’accepter qu’à concurrence de l’actif net, procédure par laquelle l’héritier ne paie les dettes que dans la limite de ce qu’il a reçu du défunt », a précisé une spécialiste.
Et Johnny Hallyday aurait une dette fiscale estimée à 15 millions, une somme rondelette que tous ses héritiers, en l’occurrence David Hallyday, auront à s’acquitter, si finalement le droit français devait s’appliquer.
Ici Paris a affirmé de son côté que les héritiers du rockeur « auront droit un redressement fiscal d’une quinzaine de millions d’euros, au bas mot ».
« cette évaluation sonnante et trébuchante a été donnée à Léna Lutaud », auteure d’un livre sur cette affaire, par l’avocat de Laeticia Hallyday en personne.
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