David Hallyday a ouvert son cœur dans son autobiographie intitulée "Meilleur album", publiée le 23 novembre dernier, occasion d’exprimer sa gratitude envers son beau-père, Tony Scotti, pour son rôle déterminant dans le façonnement de sa carrière musicale. Sans lui, il ne serait pas lancé dans cette voie.
À une époque où David n’avait pas encore décidé de suivre les traces de son illustre père, Tony Scotti, le mari de Sylvie Vartan, est apparu comme un guide providentiel.
Dans son ouvrage actuellement en librairie, David Hallyday est intarissable.
« Si cet homme providentiel ne m’avait pas pris en main, soumis à une discipline et enseigné quelques règles fondamentales ; s’il ne m’avait pas encouragé (...) je n’aurais pas fait la carrière que j’ai faite. Sans lui, j’aurais été batteur, sans aucun doute, et je m’en serais contenté."
L’artiste révèle que, sans l’influence salvatrice de Tony Scotti, sa trajectoire aurait pris une tout autre direction. « À la rigueur, j’aurais peut-être réalisé des musiques de films. Quoi qu’il en soit, je n’aurais jamais été chanteur, c’est certain », souligne-t-il avec reconnaissance.
David Hallyday évoque également sa jeunesse, en particulier l’année 1983, où, à l’âge de 17 ans, il n’avait pas de plans précis pour son avenir. Plongé dans le monde de la musique en tant que batteur d’un groupe amateur, c’est Tony Scotti qui a su déceler son potentiel. « Mon côté performer, je le dois à Tony : c’est lui seul qui a vu que j’étais capable de monter sur scène, sans reculer dans la lumière, pour affronter avec bravoure le jugement du public », confie-t-il.