Carla Bruni a récemment pris la défense de Flavie Flament, critiquée pour son apparence physique, en exprimant son soutien lors d’un coup de gueule sur Instagram.
David Hamilton, l’homme qui d’après Thierry Ardisson, est supposé avoir agressé Flavie Flament, s’était confié dans les pages de Gala l’an dernier.
Et ses confidences prennent une toute autre tournure aujourd’hui.
« C’est trop de responsabilités. Mais je ne me sens pas seul : j’ai des milliers d’enfants ! », disait-il alors qu’il montrait des clichés.
« Les autres modèles sont rentrées chez elles, en Suède, en Hollande, en Allemagne ou tous les pays nordiques « où je faisais mon marché », expliquait le photographe. « Elles revenaient avec un Polaroid », disait-il.
David Hamilton explique aussi avoir trouvé de jeunes filles sur les plages nudistes du Cap d’Agde.
C’est dans cette station balnéaire de l’Hérault que Flavie Flament raconte dans son autobiographie « La consolation », avoir rencontré son agresseur lorsqu’elle n’avait que 13 ans.
En entretien avec le JDD, l’animatrice de son côté avait reproché à sa mère d’être complice de son viol par un célèbre photographe.
« On savait qu’il avait une aura mondiale ; moi, je venais d’un petit village de Normandie dont le nom est à peine écrit sur les cartes de France. Par son âge (il avait alors une cinquantaine d’années) et sa notoriété, c’était donc une domination à double titre. Cet écart social lui donnait une grande force dont il a su user, à tel point qu’il payait ma mère avec un pauvre Polaroid. C’est pour cela que j’ai écrit : « Un viol = un Pola. » Quel mépris », confiait Flavie Flament.
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