« On ne peut pas parler d’échec, quand on a connu une histoire d’amour forte et qu’on a des enfants merveilleux », a-t-il déclaré.
Il a toutefois reconnu l’impact de cette expérience : « Mais on est altéré par ce que l’on vit, et la remise en question est vertigineuse ».
Malgré tout, il n’éprouve aucun regret quant à ses choix amoureux : « Je peux questionner mes comportements, mais il n’y a pas grand-chose que je ferais différemment en termes de choix amoureux. Dans un couple, il est nécessaire d’arriver à conserver ce qui est beau quoi qu’il arrive. Ma plus grande angoisse n’est pas la peur de l’échec, c’est la crainte de ne rien vivre ».
Le film Le Comte de Monte-Cristo, l’une de ses productions, semble avoir joué un rôle important dans son processus de reconstruction.
Sur Instagram, l’ex de Charlotte Casiraghi avait écrit : « Je n’osais plus m’abandonner à y croire vraiment. Croire possible cet accueil merveilleux que vous nous offrez. Je l’espérais tellement pourtant, j’en avais besoin même, au-delà de ce que je voulais bien m’avouer ».
« Il y a des films qui charrient pour ceux qui les font encore davantage que ce qu’ils cristallisent à l’écran », avait-il indiqué.
Il semblerait que ce projet l’ait aidé à aller de l’avant », avait ajouté celui qui serait un coeur à prendre depuis sa rupture avec Charlotte Casiraghi.
« Celui-là plus que tous les autres en ce qui me concerne. D’abord parce que j’en suis immensément fier. Fier du travail, fier du parcours accompli avec deux amis dont la rencontre il y a quinze ans a changé ma vie professionnelle, ma vie tout court. Ensuite parce qu’il appartient à un cinéma auquel j’ai toujours voulu moi-même appartenir. », avait-il conclu.