Élisabeth Borne, ancienne Première ministre, se lance dans un autre projet la rédaction d’un livre qui reviendra sur ses sept années au sein de l’exécutif. Et il se pourrait qu’elle la vérité sur ses rapports avec Emmanuel Macron.
Nicolas Dhuicq, député du parti Les Républicains, fait partie des personnalités qui ont alimenté la double vie d’Emmanuel Macron, qui est supposé avoir entretenu une liaison avec Mathieu Gallet, le patron de Radio France.
C’est ce que rappelle le magazine France Dimanche qui revient aussi cette semaine sur ce bruit de couloir, démenti avec humour par le leader de En Marche lors d’un meeting parisien.
« concernant sa vie privée, ça commence à se savoir à l’heure où nous parlons, insinue ce soutien de François Fillon à la présidence de la république lors d’un entretien accordé à RT. Macron est quelqu’un qu’on appelle le chouchou ou le chéri des médias français, qui sont détenus par un petit nombre de personnes, comme tout le monde le sait ».
Et le député de l’Aube d’ajouter : « l’un de ses soutiens est le célèbre homme d’affaires Pierre Bergé, associé et amant de longue date d’Yves Saint Laurent, qui est homosexuel et défend ouvertement le mariage pour tous ».
Le député, qui est aussi psychiatre accuse Emmanuel Macron d’être « financé par le très riche lobby gay ».
Le Canard Enchainé était aussi revenu sur ces ragots, nous apprenant que les Services Secrets russes en seraient à l’origine.
Deux médias financés par « le Kremlin, Sputnik et RT, ont ainsi publié dans leurs colonnes des rumeurs portant sur la « double vie » d’Emmanuel Macron, qui est supposé être soutenu par un « très riche lobby gay ».
Et de préciser ensuite que depuis novembre dernier, le site du parti lancé par l’ex ministre de l’économie, « En marche ! » avait a été ciblé par « 1922 tentatives d’intrusion, dont 907 venant d’Ukraine.
Ces attaques se sont multipliées depuis janvier, alors que « les intentions de vote en faveur d’Emmanuel Macron progressent dans les sondages ».
L’hebdomadaire précise que l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’Information a été chargée par les autorités pour surveiller « les tentatives de sabotage de campagne ».
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