Marion Maréchal aurait dilapidé l’argent de Reconquête, le parti fondé par Eric Zemmour avant de le quitter, rapporte Le Canard enchaîné. Elle aurait généreusement rétribué ses amis avant de quitter le parti d’extrême droite.
En entretien accordé au « Point », Eric Zemmour n’a pas hésité à sortir les griffes pour défendre Sarah Knafo, ciblée par Marine Le Pen. On pensait pourtant leur couple en difficultés, mais il en est rien.
Les rumeurs allaient bon train sur les tensions au sein du couple formé par Eric Zemmour et Sarah Knafo.
L’ancien candidat à la présidence de la République aurait reproché à la conseillère d’État « sa gestion de la campagne, le meeting du Trocadéro qui a coûté 1 million d’euros, son salaire mensuel non négligeable, bref, il cherche un coupable à sa défaite ».
« Mais pas question pour la jeune énarque d’endosser le rôle de la fautive. Alors, forcément, des disputes éclatent, parfois même en public ! Un déballage de linge sale que l’homme politique aurait du mal à supporter, lui qui est encore officiellement marié à Mylène Ch* », était-il indiqué.
Mais le polémiste a tenu à remettre les choses au clair lors d’une interview accordée au magazine Le Point.
S’il est vrai que leur couple a été mis à « rude épreuve pendant la campagne présidentielle », notamment en raison de désaccords sur la gestion de la campagne, Eric Zemmour n’a pas hésité à la défendre des accusations d’antisémitisme portées à l’encontre de sa compagne par le Rassemblement National, le parti de Marine Le Pen.
« Je constate des faits, et je raconte ce que de nombreuses personnes qui l’ont quittée m’ont rapporté. Elle n’a pas coupé les ponts avec ses anciens amis du GUD [Groupe union défense, NDLR]. Marine Le Pen a dirigé la campagne de son père en 2007 en coopération avec Alain Soral. Elle n’a pas sanctionné, mais au contraire promu, ce monsieur qui a écrit sur Twitter que j’étais " entouré d’hommes de la banque Rothschild et de la finance internationale " et relayé un article qui disait, je cite, que Sarah Knafo n’avait pas le " biotope d’un paysan du Cantal », a-t-il indiqué.
* " Je n’ai pas dit mon dernier mot ", d’Éric Zemmour (Rubempré éditions, 334 p., 21,90 E).
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