Depuis son couronnement, Miss France 2024, Eve Gilles, n’est pas épargnée par la critique et les attaques fusent de toutes parts. Et d’après le rappelle le magazine Ici Paris, à peine sacrée, elle est déjà agressée.
Fort heureusement, il ne s’agit pas d’une agression physique. L’hebdomadaire fait référence aux critiques sur les réseaux sociaux subies par cette séduisante brune originaire de Quaëdypre, un paisible village du nord de la France d’à peine « un millier d’âmes, à 14 km au sud de Dunkerque ».
Après son sacre devant 9 millions de téléspectateurs scotchés devant les écrans de TF1, et la tournée des plateaux de télévisions, Eve Gilles a eu droit à une grande parade « dans son village au son de la fanfare municipale ».
« C’est beaucoup d’émotion de revenir dans mon village, un village synonyme d’entraide avec des gens qui parlent avec le cœur ! », a-t-elle lancé, les yeux embués de larmes de joie.
Et son retour parmi les siens lui a fait du bien, surtout après avoiressuyé des critiques insensées sur son physique,ce qui a pousséle président Emmanuel Macron à se porter à son secours.
« Honnêtement, c’est fou de penser que des gens puissent avoir des discours de haine parce qu’on a des cheveux courts. On a quand même des fadas », a expliqué le chef de l’Etat sur le plateau de C à vous. Pour le chef de l’État, Ève Gilles est une « Miss France magnifique ».
Face aux critiques, la reine de beauté adopte la meilleure des réponses : « Je fais l’autruche pour ne pas les mettre en lumière. Chaque année, Miss France est critiquée et les critiques se renouvellent ».
Et elle est évidemment déterminée toutefois à lutter pendant son règne contre le harcèlement en tout genre.
Et tant qu’il le faudra, Ève Gilles « ne mâchera pas ses mots », indique la publication. Son père Bruno confirme son caractère bien trempé, malgré ses 20 ans. « L’important est qu’elle garde les pieds sur terre et son franc-parler ».
« Miss France n’est pas qu’un concours de beauté. Je ne suis pas la plus belle femme de France et pourtant j’ai la couronne ! », se félicite-t-elle au passage.
« Je ne suis pas du genre à abandonner face aux critiques. Je me suis justement dit que, si j’étais élue, ça me permettrait d’en parler, de faire une mise au point et d’avoir un discours plus ferme », avait-elle lancé une autre fois.
Ici Paris en profite pour rappeler le rêve de Miss France, lancer le hareng depuis le balcon de la mairie de son visage, selon la tradition du Carnaval de Dunkerque. « Rendez-vous en février ».
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