Face au cancer des poumons, Florent Pagny se bat en silence, déterminé à vaincre cette maladie insidieuse qui ne cesse de le défier. Son quotidien de lutte reste en grande partie confidentiel, mais les épreuves de son traitement ne l’ont pas épargné, une bataille qu’il continue de mener avec courage.
Cependant, un aperçu des combats contre le cancer est offert par Caroline Receveur, elle-même touchée par cette maladie, mais sous une forme différente, le cancer du sein. La personnalité médiatique n’hésite pas à ouvrir le dialogue sur les réseaux sociaux.
En ce mardi 29 août, c’est sur la plateforme Instagram que Caroline Receveur a choisi de partager des confidences sincères sur les effets secondaires de la chimiothérapie sur son corps.
Même très fragilisée, Caroline Receveur reste engagée à maintenir une proximité avec ses millions d’abonnés sur les réseaux sociaux. Dans cette optique, elle s’efforce de sensibiliser à travers son propre vécu aux réalités de la chimiothérapie. Une fois de plus, c’est sur Instagram que l’ex candiate de Danse avec les stars a partagé ses réflexions avec sa communauté.
"La semaine qui suit les cycles n’est en rien magique. J’ai dormi à peine trois heures et n’ai pas pu me rendormir. Je suis pleine d’énergie les 2/3 jours qui suivent la chimio, sauf que je dors très peu, je perds le goût des aliments, ne mange presque pas, je suis écœurée par l’eau et me déshydrate. L’accumulation, entre autres, de ces effets secondaires épuise mon corps et mon esprit petit à petit", a-t-elle partagé en toute transparence, sur ce réseau social.
"C’est dans ces moments-là que mon corps lâche et qu’il faut redoubler d’efforts pour accepter sans chercher à lutter", a déclaré la jeune femme installée à Dubaï avec sa famille. Aujourd’hui, Caroline Receveur reconnait qu’elle compose tant bien que mal avec les effets secondaires.
"J’observe et j’apprends. Je prends le temps d’accompagner mon corps et mon mental en étant plus indulgente, en acceptant avec bienveillance de me voir diminuée, en lâchant prise sur ce que je ne peux pas contrôler", a-t-elle reconnu. Une avancée considérable…, a-t-elle reconnu.
Florent Pagny de son côté est conscient qu’il lui faut entre cinq ans et dix ans pour terrasser cette maladie.
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