En guerre contre le cancer des poumons depuis près de deux ans, Florent Pagny vient de revoir la visite de sa fille Aël, qui vient de débarquer en Patagonie.
Avant d’être confronté à la maladie, un cancer qu’il est en passe de terrasser, Florent Pagny a eu parfois des commentaire difficiles à supporter. Des précisions ont été rappelées par son biographe.
« Je n’ai plus de cheveux, plus de barbe, plus beaucoup de sourcils », a confié le coach de The Voice à propos de son nouveau look, changé par son traitement très lourd dont une chimiothérapie et une trentaine de radiothérapie.
« J’assume ma tête même si je mettrai des lunettes (lors des primes de The Voice) à cause de la chute de mes cils qui me donne vraiment un air malade, mais le reste, je gère. Que veux-tu, j’ai toujours travaillé tous les looks, là, j’arrive à l’extrême ! (Rires) C’est le plus épuré ! », a-t-il ajouté dans Gala, où ses confidences ont été recueillies par Nikos Aliagas.
Florent Pagny rappelle qu’il n’est pas le seul à avoir changé de look dans The Voice. C’est aussi le cas d’ Amel Bent qui vient d’accoucher.
« Mais, je te signale, Nikos, que je ne suis pas le seul à avoir changé d’aspect, Amel a eu son petit gars aussi. D’une semaine à l’autre, changement de style pour deux coachs !".
Quant à commentaires condescendants, c’est à ses débuts à cause de certains journalistes, a rappelé cette fois Éric Le Bourhis, auteur « Florent Pagny, l’éternel rebelle »
« Malheureusement, quand je suis sincère, on me traite de démago. J’en viens parfois à me demander s’il ne vaudrait pas mieux écrire des chansons insipides et cuc*l : ».
« Dans les grands moments que je vis, (…) je dois faire face à quelques journalistes qui me cassent en mille morceaux, gratuitement, en vingt-cinq lignes. Ils me traitent de démago, alors que je suis sincère, de grossier alors que j’utilise le langage courant, de maladroit, je ne sais pourquoi, et en plus, ils ajoutent que je fais Capdevielle pédale sur la pochette. […] Un journaliste m’a violemment attaqué : il critiquait mes boucles d’oreilles et mon cuir, panoplie selon lui du parfait frimeur. […] Ce journaliste était persuadé que j’appartenais à un mouvement d’extrême droite, affirmant que Laissez-nous respirer était profasciste… Absurde : il l’a reconnu après m’avoir rencontré, mais le mal était fait. ».
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