Ségolène Royal ne cache pas ses intentions. Invitée sur le plateau de LCI le jeudi 29 août, l’ancienne ministre de l’Environnement a clairement indiqué qu’elle était "disponible" pour le poste de Premier ministre.
Quatre ans après l’implosion du couple formé par François Hollande et Valérie Trierweiler, le livre La Malédiction de l’Élysée, oeuvre de Patrice Biancone, revient sur les coulisses de leur séparation.
Cet ancien journaliste de RFI a été le chef de cabinet à l’Élysée de l’ex première dame.
Il raconte « son vécu des faits désormais connus, l’impossible gestion de deux tempéraments incontrôlables, la déliquescence d’un couple (...) qui a métastasé la présidence Hollande », rapporte cette semaine le magazine Gala, qui relaye plusieurs passages de l’ouvrage.
Femme amoureuse, Valérie Trierweiler « ne voit pas en François Hollande un président, mais un homme, son homme, qu’elle veut conserver tout près d’elle », explique l’auteur, qui estime qu’en parallèle, le président toujours aussi secret et impassible, « se concentre avant tout sur sa fonction ».
« La relation fusionnelle, ce n’est pas son truc », indique l’auteur.
Mais ce qui aurait précipité l’implosion de leur couple, ce serait le tweet vengeur de Valérie Trierweiler à l’encontre de Ségolène Royal dont elle avait soutenu le rival aux législatives.
Par la suite, elle a regretté « son geste ».
« elle désire tourner la page alors que d’autres s’activent auprès du président pour qu’il s’en sépare », indique l’auteur La Malédiction de l’Élysée.
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