Une curieuse raison explique ce sentiment persistant, qu’il a récemment évoqué lors d’une prise de parole auprès du quotidien Le Monde.
Dans une interview sincère et profonde, le roi du stand-up s’est livré sur divers aspects de sa vie, notamment sa carrière et sa vie privée.
Gad Elmaleh aborde aussi sa relation avec autrui et sa perception de son image publique. "Regarde ce mec", dit-il en désignant un homme avec sa famille près des transats, "il a l’air d’un acteur américain, non ? Pourtant, il n’a rien tourné... Alors que moi, je suis obligé de faire des films", confie-t-il avec une pointe d’amertume. Cette réflexion met en lumière la pression qu’il se met lui-même, qu’il soit à Hollywood ou à Monaco.
Le stress qu’il ressent, il le constate, est auto-infligé. Gad Elmaleh reconnaît qu’une certaine fascination peut exister dans ces milieux, mais le défi réside dans la capacité à rester authentique, à se démarquer tout en demeurant fidèle à soi-même. "Il faut que les gens disent que tu es un mec bien", ajoute-t-il, soulignant l’importance de préserver son intégrité.
Le point central de sa confession réside dans ce qu’il nomme le "syndrome du blédard". Ce terme poétique cache une réalité commune : l’effort constant pour s’adapter, pour se fondre dans un environnement tout en préservant son identité.
Gad Elmaleh avoue que le fardeau du jugement permanent a été lourd à porter, mais son choix de métaphore traduit une résilience et une tentative d’évolution personnelle. "Ça m’a pesé, ce jugement permanent... Le syndrome du blédard", explique celui aurait a désormais la page Charlotte Casiraghi avec une dénommée Bérénice, une femme d’affaires.