Dans une interview accordée au Figaro, le chanteur de 50 ans, officiellement coeur à prendre, s’est confié sur les difficultés qu’il rencontre pour gérer l’héritage de sa mère.
"C’est un peu une montagne qui me tombe dessus, avec des problèmes juridiques et notariaux", a-t-il confié. Malgré ces obstacles, Thomas Dutronc souhaite rendre hommage à sa mère en mettant en valeur son œuvre musicale.
Il a notamment évoqué un projet avec Étienne Daho, un artiste qui connaissait bien Françoise Hardy.
Le musicien de 51 ans a été confronté à une succession complexe, comme c’est souvent le cas pour les personnalités publiques. La gestion des droits d’auteur, des biens immobiliers et des archives personnelles, représente un véritable défi. Pourtant, sa mère avait tout prévu.
En parallèle de ce travail de mémoire, Thomas Dutronc poursuit sa carrière solo.
Sa volonté est de se concentrer sur sa tournée actuelle, tout en gardant à l’esprit l’héritage de sa mère, estimé à 6 millions d’euros.
« On essaie de lui rendre hommage évidemment. Je ne sais pas encore comment, ce n’est pas facile », a-t-il ajouté.
Thomas Dutronc n’avait rien à payer et pour cause ! Françoise Hardy souhaitait éviter à tout prix que celui-ci ne paye des "droits de succession exorbitants", a confirmé Fabien Lecoeuvre sur le plateau de Touche pas à mon poste sur C8.
« Elle a tout organisé comme beaucoup de gens quise savent condamnés à moyen-long terme. Elle a donné la nue-propriété, c’est-à-dire les murs de tous ses biens immobiliers, à son fils, et elle garde l’usufruit. Ce qui coûte cher puisqu’il y en a à peu près pour 6 millions d’euros de biens immobiliers », a-t-il indiqué.
La regrettée chanteuse avait cumulé un patrimoine conséquent.
En plus de posséder deux studios dans la capitale, Françoise Hardy était propriétaire d’une maison en Corse ainsi que l’appartement dans lequel elle résidait à Paris.
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