Hiromi Rollin, ancienne dame de compagnie d’Alain Delon, a récemment provoqué un tollé médiatique en livrant des révélations dérangeantes dans l’émission Envoyé spécial, diffusée sur France 2. Elle se serait vengé du regretté acteur.
Le 12 septembre dernier, soit quelques semaines après le décès de l’icône du cinéma, Hiromi Rollin, qui se présente comme la compagne de Delon depuis plus de trente ans, a pris la parole pour partager son témoignage dans le cabinet feutré de son avocat, maître Yassine Bouzrou, à Paris.
Un entretien qui, de par sa mise en scène, laisse planer des doutes sur la spontanéité de ses déclarations.
Durant cet échange avec Élise Lucet, Hiromi Rollin a exprimé son chagrin face à la disparition de l’acteur.
L’un de ses plus grands regrets, est de ne pas avoir pu assister aux funérailles, célébrées dans l’intimité le 24 août dernier.
Ses demandes de participation ont été ignorées malgré sa demande d’y participer. « J’ai beaucoup de mal à me dire qu’Alain n’est plus là… Je n’ai même pas pu lui dire au revoir », a-t-elle confié.
Elle a également raconté une expérience troublante vécue le jour des funérailles : « Je me suis habillée en noir, j’ai porté son collier. Son collier s’est détaché. Peut-être que c’était un pur hasard, mais j’ai trouvé ça étonnant », a-t-elle expliqué.
Le récit de Hiromi Rollin a rapidement pris une tournure plus sombre. Elle a dépeint un portrait très différent de l’homme que le public admirait.
Selon elle, Alain Delon était un homme « coléreux et violent », évoquant des épisodes d’agressivité et de contrôle.
« Il me disait : “Si tu vas au Japon, ce n’est pas la peine de revenir à Douchy” », a-t-elle affirmé. Elle a également souligné le caractère macho de l’acteur, le décrivant comme quelqu’un qui aimait « avoir une femme à la maison », un comportement qu’elle attribue à sa génération.
Ce témoignage, à la limite du déballage intime, a choqué plus d’un. Pour certains, cela s’apparente à une tentative de vengeance après avoir été évincée de la vie d’Alain Delon par ses enfants.
« Vengeance ou déballage à la limite de l’indécence, qui ne fait que ternir un peu plus l’image de celle que la fratrie Delon voit définitivement comme une vraie prédatrice ? », se demande la publication.
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