« Le poste de joker est un tremplin si on a envie que ça le soit, explique-t-il au Parisien. Moi, c’est arrivé assez tard. J’avais 40 ans passés et fait autre chose avant. Vingt ans plus tôt, j’aurais peut-être eu d’autres ambitions ».
« Avec le temps, j’ai compris que le JT, ce n’est pas vie. », poursuit le journaliste qui ne rêve pas de devenir une star.
« Tout le monde sait que je ne veux pas [la place de Jean-Pierre Pernaut]. Et puis, c’est trop tard, assure Jacques Legros. Je me moque éperdument d’être le number one. Je préfère le remplacer de temps à autre et faire d’autres choses à côté » ?
Un choix de vie très clair qui explique pourquoi il « n’y a jamais eu de crainte » entre les deux journalistes, qui forment depuis des années un « bon tandem ».