Mais qui en veut à Julie Gayet ? Cette actrice semble à la fois discrète dans sa vie privée, éblouissante à l’écran et sans ennemi apparent, rapporte le magazine France Dimanche, qui fait état de l’existence d’une terrible menace.
Après avoir snobé une soirée de soutien à la lutte contre l’endométriose à cause de Carla Bruni, Julie Gayet était ce week-end de la « semaine autour des femmes », organisée près de Compiègne par le collectif 1 001 femmes avec le cinéma Le Majestic de Jaux, rapporte « Le Parisien ».
Ce samedi soir, le multiplexe Le Majestic de Jaux, situé près de Compiègne, a reçu Julie Gayet, à l’occasion de la « semaine autour des femmes ».
La première-dame officieuse qui est également marraine de l’association « Fonds pour la santé des femmes (FSF) », était aussi sur place pour défendre un documentaire signé Thierry Michel et Colette Braeckman, « L’homme qui répare les femmes - La colère d’Hippocrate ».
Il y est question du gynécologue congolais Denis Mukwege, devenu célèbre pour être venu en aide aux milliers de femmes violées dans l’est de la République du Congo. Valérie Trierweiler et Angelina Jolie l’avaient déjà rencontré.
« Un homme absolument merveilleux, humainement incroyable, confie Julie Gayet lors de cette soirée. Non seulement, il vient en aide à ces femmes mutilées, mais il soigne leur âme. Son combat m’a bouleversé et j’ai eu envie de l’accompagner. Il faut défendre ce film ».
La compagne de François Hollande a rencontré personnellement le docteur Mukwege, prix Sakharov 2014. « Ce film, c’est un mélange de souffrance, de dignité et de courage, explique de son côté la journaliste Colette Braeckman. Ces femmes sont des héroïnes, tout comme le docteur Mukwege est un héros. »
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