Laeticia Hallyday tremble pour ses filles, Jade et Joy, qui ont eu le courage de prendre la parole pour la première fois dans les médias. Elles sont menacées de mort.
D’après le magazine France Dimanche, la veuve du Taulier serait actuellement plongée dans une terreur insoutenable concernant la sécurité de ses filles Jade et Joy Hallyday.
Les deux adolescentes, âgées de 19 et 15 ans respectivement, ont été confrontées à un cyberharcèlement d’une violence inouïe, laissant leur mère dans un état d’inquiétude constant.
Sur les réseaux sociaux,Jade et Joy ont été la cible de commentaires haineux, racistes et misogynes, portant atteinte à leur intégrité physique et morale, rapporte le magazine France Dimanche.
Lors d’une émouvante interview accordée à Audrey Crespo-Mara dans l’émission "Sept à huit" sur TF1, Jade a décrit l’ampleur choquante des attaques, notamment celles liées à leurs origines indochinoises.
Les termes dégradants tels que "Bol de riz" et "Retourne manger du riz dans ton pays" ont été lancés à leur encontre, ajoutant une dimension raciste à cet harcèlement.
Le plus alarmant, cependant, est la révélation de menaces de mort proférées à l’encontre des deux jeunes filles. Jade a courageusement déclaré : "Il y a même eu des menaces de mort, des ’Je vais t’égo*ger sal*pe !’", exprimant ainsi le niveau extrême de violence auquel elles sont confrontées. Malgré leurs tentatives de rester fortes et d’ignorer ces attaques, le poids constant du jugement les affecte profondément.
La situation est d’autant plus préoccupante que Jade et Joy vivent actuellement seules avec leur mère à Los Angeles. La maison familiale, bien que facilement repérable, soulève des inquiétudes quant à la sécurité des jeunes filles, exposées à un risque potentiel, précise la publication. »
Face à cette escalade de la violence, des voix s’élèvent pour encourager Laeticia Hallyday à envisager des actions légales contre les auteurs de ces menaces, souvent cachés derrière l’anonymat des réseaux sociaux. Le dépôt de plainte devient une option sérieuse pour contrer ces actes d’intimidation, étant donné que de telles menaces sont passibles de sanctions sévères en vertu du Code pénal, est-il indiqué.
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