Laeticia Hallyday aurait été rattrapée par son passé, et ferait face à une malédiction. Un gros dilemme pour l’ex de Jalil Lespert.
Des précisions sont apportées par le magazine France Dimanche, qui fait référence à ses difficultés de vendre sa maison de Marnes-la-coquette, La Savannah, là où Johnny Hallyday a perdu la vie.
La veuve de Johnny Hallyday, Laeticia, se retrouve confrontée à un défi inattendu alors qu’elle revient en France pour présenter une exposition consacrée à la vie et à l’œuvre de son défunt mari. Alors que cette mission lui a permis de récolter des éloges en Belgique, un fardeau du passé refait surface, mettant à l’épreuve sa détermination.
L’enjeu réside dans la villa de Marnes-la-Coquette, La Savannah, héritée de Johnny, une luxueuse résidence de 15 pièces sur un vaste terrain.
Ce cadeau, initialement perçu comme une sécurité financière, s’est transformé en un dilemme immobilier complexe. Laeticia cherche à vendre cette demeure depuis plus de cinq ans, espérant se libérer d’une dette fiscale considérable laissée par Johnny.
Malgré avoir initialement fixé le prix à 16,7 millions d’euros et, après une baisse significative, avoir trouvé un acquéreur en mars dernier, la vente a échoué à la dernière minute, laissant Laeticia dans l’impasse. La maison, La Savannah, semble être devenue un fardeau immobilier difficile à porter.
La villa aurait besoin de rénovations, présentant des signes de vieillissement, ce qui, selon les experts immobiliers, pourrait être un obstacle pour les acheteurs potentiels. De plus, le style particulier de la maison et son manque de fonctionnalité pour une famille semblent décourager les candidats.
L’exposition réussie sur Johnny pourrait-elle offrir une bouffée d’air frais dans cette situation délicate ? Laeticia se retrouve à jongler entre la préservation de l’héritage de Johnny et la gestion d’une propriété problématique qui semble lui échapper. L’avenir de La Savannah reste incertain, créant une nouvelle page dans le livre compliqué de la vie de Laeticia Hallyday.
« Pour elle, c’est presque une malédiction », indique la publication.
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