Dès demain, le 22 avril, débarquera en librairie l’autobiographie d’Amaury Leveaux, qui ne manquera pas de faire grand bruit ! Le jeune retraité y dénonce notamment l’usage de la cocaïne dans la natation française.
« Certains d’entre nous ne crachent pas sur un petit rail de temps en temps. Pour d’autres, ce n’est plus un rail, c’est carrément une autoroute couverte de poudre blanche sur laquelle ils glissent à vitesse grand C, comme Cocaïne’, écrit-il notamment.
« Et puis, il ne faut pas se voiler la face : c’est un produit dopant. Un euphorisant qui donne le sentiment d’être invincible et jamais fatigué, de repousser ses limites et de se transformer en un guerrier prêt à tous les combat », raconte-t-il ensuite comme le rapporte « le journal du Dimanche ».
L’hebdomadaire nous apprend par ailleurs que le nageur ne se prive pas d’avouer son béguin et son amour « platonique » pour Laure Manaudou, qui occupe a toujours occupé « une place à part dans son coeur ».
Cet amour n’empêche cependant Amaury Leveaux de balancer sur l’ex de Laure Manaudou, Frédérick Bousquet, qui avec les autres membres du Cercle des nageurs de Marseille, Fabien Gilot, Florent Manaudou, Camille Lacourt, « font les beaux avec un melon gros comme ça ».
Dans les colonnes du Républicain Lorrain, Lucien Gastaldello, le vice-président honoraire de la FFN, estime que « Amaury vient de se tirer une balle dans le pied. Il devait être consultant à la télévision pour les prochains événements. Je pense qu’il peut faire une croix dessus. Qui voudra répondre à ses questions à présent ? Pas le clan marseillais qu’il semble critiquer à chaque ligne (...) Tout le monde est dégoûté de son attitude. C’est une drôle de façon de rendre la monnaie. »
« Il est allé trop loin, on va lui demander de rembourser ».
Gastaldello nie toute consommation de cocaïne au sein de l’équipe de France. « J’ai été chef de la délégation française des dizaines de fois. On a fêté des titres. Je commandais souvent du champagne mais pas de cocaïne. (...) La natation n’est pas camée. ».
« A la Fédération, Amaury a toujours des ardoises qui traînent. Je peux vous assurer que s’il vend des livres, il va payer ! On ne voulait pas lui mettre de pression mais là, il est allé trop loin, on va lui demander de rembourser. », dit-il.