Certains lui reprochent notamment de parler trop fort.
« Réflexe de comédien qui veut aller chercher le public chaud-bouillant présent sur le plateau et qui oublie les téléspectateurs », répond-il dans les colonnes du dernier numéro de « Paris Match ».
« Dans l’oreillette, la production me disait : baisse un peu. Mais baisse un peu quoi ? Je ne comprenais pas. J’ai compris en revoyant l’émission, je me suis adapté ».
Le héros de « Camping Paradis » en profite pour répondre ensuite aux attaques d’Enora Malagré ou encore de Gilles Verdes, les chroniqueurs de « Touche pas à mon poste ».
« Un enfant de CM2 comprendrait qu’on ne traite pas de la même façon quelqu’un qui débute avec celui qui a dix ans d’expérience », explique celui qui s’est délesté d’une cinquantaine de kilos en quelques mois.
« Leur méchanceté gratuite, est trop vite tombée dans le dérapage. C’est leur jeu, ils sont grassement payés pour ça », regrette-t-il. « Gilles Verdez, un journaliste sportif qui décrypte la culture télévisuelle donc ? Ok, j’ai compris qu’il s’agissait de débats de comptoir, de discussions de café du commerce. Rien de très grave finalement ».