« Tout le monde sait mais personne ne dit rien. Il y a des listes qui circulent dans le métier, tout le monde connaît les prédateurs sexuels qui sont dans le métier, qui font du mal », a déclaré la chanteuse, en faisant référence à Gérard Depardieu, visé par plusieurs plaintes de violet d’agression.
« Ce sont des comportements inadmissibles qui détruisent, j’en ai été victime, je ne suis pas la seule », faisait-elle savoir lors de son passage dans France 5.
Et elle tenait le même propos dans les colonnes du magazine belge Max.
« J’ai découvert il y a deux ans que j’ai été violée à l’âge de 10 ans. Avant, je disais juste ’c’est un gros balourd, ami de mes parents, qui a profité de moi, pendant 40 minutes », expliquait-elle.
Suite à sa prise de parole, ses propos ont été perçus comme une accusation contre son beau-père, le père de sa sœur Helena Noguerra. Mais il n’en est rien.
« Suite à la publication hier dans Le Parisien et Libération reprenant de manière erronée mes propos tenus dans le magazine belge ‘Max’, je tiens à mettre les points sur les i", a-t-elle d’abord expliqué sur les réseaux sociaux.
« J’ai été violée. J’étais à l’arrière de la voiture. Le volant étant à l’avant, ce n’est évidemment pas mon beau-père qui a pu commettre ce viol. C’est un de ses amis qui travaillait dans la même entreprise. Je raconte d’ailleurs cet épisode dans ‘Pop model’", a continué la chanteuse.
"J’ai d’autres bananes à peler avec mon beau-père mais ce n’est pas ici que je le ferai. Merci pour votre sororité car les faits sont là », a-t-elle conclu. Helena Noguerra avait déjà reproché à sa soeur ses confidences.