Michel Drucker, le cœur a lâché !
Depuis ses deux lourdes opérations chirurgicales, Michel Drucker continue de se ménager. Hélas, « en pleine canicule, le pire est arrivé ».
Michel Drucker à propos de Charles Aznavour « Mon phare, mon repère »
Michel Drucker se confie lors d’un entretien accordé au magazine « Ici Paris », dans le cadre de la promotion de son one-man show.
Pour l’occasion, il évoque non seulement l’un des traumatismes de son enfance, celui de ne pas avoir fait d’études, mais parle aussi de Charles Aznavour, sa grande inspiration.
« Mon phare, mon repère, c’est Charles Azanavour, mon voisin en Provence. Il vient d’avoir 92 ans », rappelle dans un premier temps Michel Drucker.
« Chaque fois que je vais le voir, je lui demande comment il va, il me dit « J’ai mal au dos ? », poursuit-il.
« Je lui dis ‘mais tu n’as plus 20 ans’, et il répond ‘je ne sais pas pourquoi, cette semaine j’ai juste chanté à Rio, mais ce qui m’inquiète, c’est que demain, je chante à Prague’. Un véritable jeune homme. Il me raconte ses projets, il me dit qu’il aura un album qui sortira dans cinq ans, mais avant il voudrait faire une tournée en Amérique du Sud, ce qui nous amène à 98 ans. Mais il va chanter jusqu’à 100 ans », prédit Michel Drucker.
Michel Drucker lève le voile sur un élément bouleversant de sa vie privée, celui de son père qui « voulait que ses trois fils soient numéros 1 » raconte l’animateur qui a vécu cela comme « un traumatisme ».
« Je suis parti tout seul à 16 ans et j’ai mis un point d’honneur à ne pas donner de mes nouvelles tant que je n’aurai pas fait quelque chose de notable, raconte le présentateur de Vivement Dimanche. Le jour où mon père a allumé la télé, il me voit, moi, qui n’avait pas donné de nouvelles depuis longtemps. Il a failli avoir une crise cardiaque. Il a contacté le patron qui m’avait mis à l’antenne pour lui dire : ’Je suis le père de cet inconscient. Il n’a pas de diplômes, c’est un anxieux, il a une syntaxe approximative, il n’a pas de culture, il se ronge les ongles ?! Vous courrez à la catastrophe’ ! », se rappelle Michel Drucker.
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