
Scandalisé par un « massacre abominable » Michel Sardou réclame une peine exemplaire pour le meurtrier. Une découverte macabre.
Michel Sardou s’apprête à publier une biographie, où il promet de livrer sa vérité, et évoquerait notamment une pénible affaire, un cancer du sang qui lui avait diagnostiqué dans les années 80.
Ce projet est rappelé par le magazine « Le Soir » dans un bref article intitulé :« Sardou : toute la vérité ».
« Parce que son éditeur (Bernard Fixot) trouvait que son premier recueil de souvenirs était trop romancé, Michel Sardou en a écrit un second !
Parution le 6 mai. Et le chanteur-comédien-auteur jure, cette fois, de dire toute la vérité », indique la publication.
Michel Sardou reviendrait sans doux sur un pénible souvenir, le jour où le cancer du sang lui a été diagnostiqué à l’hôpital américain de Neuilly.
Un médecin l’ a informé qu’il ne lui restait plus que quelques mois à vivre.
Durant de nombreux mois, il avait broyé du noir, mais finalement, suite à un conseil d’un ami, il s’est rendu à Gustave-Roussy à Villejuif dans le Val-de-Marne.
Et son cancer du sang n’était en réalité « une hépatite ».
Il y a quelques jours, en confidence dans les colonnes du Parisien, Michel Sardou expliquait qu’il allait se faire vacciner » même s’il n’est pas prioritaire.
« C’est imminent. Je suis un peu trop jeune et je n’ai pas de comorbidité pour être prioritaire, mais je vais avoir une dérogation car j’ai besoin d’être vacciné pour commencer un traitement médical à base de perfusions assez longues », a-t-il précisé avant de poursuivre : « Mais rien de grave, je vous rassure ».
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