« On ne peut pas remplacer l’amour des parents. Et quand on a eu le malheur qu’ils ne soient pas là, on n’a pas de cadrage ! Et c’est hyper important pour les enfants ! », glisse la starlette de télé-réalité.
« Si j’étais comme ça à la télé, un peu folklorique ou dénudée, c’est parce que mes parents ne me guidaient pas. C’est pour cela que je faisais un peu n’importe quoi », poursuit elle.
Celle qui vient de sortir son livre « Trop Vite », sur lequel elle a travaillé six mois, a également évoqué son amitié avec Ayem Nour, la présentatrice du Mad Mag sur Nrj 12.
« J’ai tout partagé avec elle, jusqu’à mes culottes ! Nos chemins se sont séparés lorsqu’on s’est mises en couple. On a pris des voies différentes. Elle a trouvé sa voie et elle le mérite car je ne vois personne d’autre qu’elle pour faire le Mag de NRJ12. Elle restera une copine et j’ai énormément de respect pour elle », indique Nabilla, avant d’évoquer sa médiatisation.
« J’ai voulu être connue et j’assume. Je ne vais pas dire que je veux être connue et dire que je ne veux pas être en couvertures des magazines ! Qu’on me voit dans ma vie privée, ça fait partie du jeu. Mais je ne supporte pas qu’on me crache dessus ou qu’on déverse sa haine sur moi. », précise-t-elle.