Selon Le Canard Enchaîné, Éric Ciotti, président contesté des Républicains, se serait tourné vers Marine Le Pen pour une demande des plus surprenantes. Un appartement de 300m2.
Invité cette semaine de « Quotidien », sur C8, pour assurer la promotion de son dernier album, Nicola Sirkis est revenu sur l’une de ses chansons dans laquelle il charge le Front National, un parti qu’il qualifie de parti néo-nazi.
« Pardonne-moi si ici, tout devient froid national, un pays infernal. A nous la petite mort », chante le leader d’Indochine, qui explique que ce titre a été écrit quelques mois avant la présidentielle, qui a vu Marine Le Pen accéder au deuxième tour.
« En fait, je me disais, si ça se trouve, dans trois mois, il y aura peut-être un gouvernement populiste, d’extrême droite, néo-nazi etc. et on sait ce que ça donne », fait-il savoir.
Et lorsque Yann Barthès le reprend avec humour en lui rappelant qu’il pourrait être attaqué par Marine Le Pen.
« Oui, mais je m’en fous. Au stade où j’en suis... Non mais, c’est pas très grave. Ce qu’elle a dit sur le cyclone, c’est ni plus ni moins récupérer la misère des gens, on sait comment ça marche. J’ai beaucoup parlé avec des gens assez âgés qui ont connu la Seconde Guerre mondiale, et quand je leur parlais des élections, il y en avait qui pleuraient », explique-t-il.
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