Placé en garde à vue jusqu’à ce jeudi suite à une plainte déposée contre lui, Nicolas Bedos est désormais confronté à une accusation d’"agression sexuelle en état d’ivresse" qui sera examinée lors d’un procès prévu en 2024. Mais dans ce contexte...
Chroniqueur de ’On n’est pas couché’, Nicolas Bedos se dévoile dans les colonnes de la dernière édition du magazine ’Psychologies’, où il évoque son enfance, mais aussi ses phobies, et ses TOC, à l’origine d’une dépression qui a failli le mener au suicide.
’J’étais un petit prince. Très aimé, très gâté, très inquiet. J’avais une mère superbe, un père délicieux, nous vivions dans une maison pleine de charme’, confie-t-il.
’Et pourtant, la nuit, quand je me retrouvais seul, une flopée d’idées de merde m’assaillait : pourquoi moi ? Est-ce que ça va durer ? Est-ce que je profite suffisamment de cette chance ?’, s’interrogeait le pote de Jean Dujardin, qui revient également sur son adolescence marquée par les TOC.
’Ils m’ont rendu la vie impossible à partir de 16 ans. Je portais des gants en classe, je me lavais cinq fois par jour, je désinfectais mon bureau, je ne supportais pas le contact des corps, je comptais tout trois fois... Vers 20 ans, ces obsessions, ajoutées à quelques excès de psychotropes et à de gros doutes existentiels m’ont envoyé valdinguer dans le décor. Parano, dépression, la complète’, se rappelle-t-il.
Nicolas Bedos évoque par ailleurs ses relations amoureuses. ’Il arrive à un moment où, après quelques années, je me dis ’elle est merveilleuse, mais ce n’est pas la bonne’. Je serais bien en peine de vous dire ce que j’estime être la bonne mais voilà... Et aussi parce que l’inverse m’est arrivé, je n’étais pas le bon’.
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