Le 26 septembre, le procès de Nicolas Bedos s’est déroulé à Paris. Accusé d’agressions sexuelles, l’acteur et réalisateur a dû répondre des faits reprochés, notamment par une serveuse de bar parisien.
Celle-ci a décrit en détail les agissements de l’artiste.
La jeune femme présente pendant l’audience se souvient avoir été saisie par la taille par Nicolas Bedos, lequel l’a ensuite embrassée dans le cou alors. Le papa de Joséphine était en état d’ivresse.
Face aux accusations, Nicolas Bedos, qui a récemment pris du bon temps dans le sud de la France, a opté pour une défense qui a surpris.
Il a tenté d’établir une forme de complicité avec le président du tribunal. Mais ça n’a pas vraiment marché.
« Je vais être bref parce que je vois que le président de la cour en a marre », a-t-il lancé selon les propos rapportés par un journaliste du Parisien.
Cette remarque n’a pas eu l’effet escompté. Loin d’être amusé, le président n’a pas manqué de lui répondre fermement.
« Alors, 1, ce n’est pas une cour mais un tribunal, et 2 je n’en ai pas marre, c’est mon métier. », a lancé le juge.
Le procès s’est poursuivi avec des réquisitions sévères : un an de prison avec sursis ainsi qu’une obligation de soins ont été demandés à l’encontre de Nicolas Bedos.
">September 28, 2024Un an de prison avec sursis requis contre Nicolas Bedos pour agressions et harcèlement sexuels https://t.co/oFHmxMsmCQ via @lemondefr
— Sentinelle (@Sentinelle_asso) https://twitter.com/Sentinelle_asso/status/1839878472770171209
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