D’ailleurs, il surnomme sa chère et tendre Artémis, en référence à la déesse grecque de la nature sauvage et de la chasse.
« Elle ne fait pas de quartier et j’aime ça. Quand elle veut quelque chose, elle agit comme Artémis qui tirait à l’arc : elle vise juste », a-t-il partagé dans les colonnes de Paris Match. Aujourd’hui, il renouvelle cet hommage dans La Tribune Dimanche.
"Elle demeure dans l’ombre, indispensable à notre équilibre, loin des projecteurs de mon travail", confie-t-il à propos de Tina Grigoriou, mère de leurs deux enfants, Agathe et Andréas.
"J’ai beaucoup de gratitude et d’admiration à son égard, bien au-delà de ce que nous ressentons l’un pour l’autre. Il est primordial de préserver un espace intime pour sa famille."
Nikos Aliagas et Tina sont plus amoureux que jamais. Une belle claque aux ragots.