Nouveau rebondissement dans l’affaire Patrick Poivre d’Arvor. Ce mercredi 28 février, RTL révèle que la deuxième enquête préliminaire pour viols et agressions sexuelles visant l’ex-journaliste a été classée sans suite.
Patrick Poivre D’Arvor a expliqué lors d’un entretien accordé à « TV Mag » les conditions de son audition par les enquêteurs dans une affaire d’escroquerie.
Mercredi soir, il était affirmé que Patrick Poivre D’Arvor avait été placé en garde à vue dans le cadre de l’affaire Aristophil, une entreprise, qui propose à des épargnants de placer leur argent dans des livres anciens ou dans des manuscrits d’auteurs célèbres. Cette société est soupçonnée d’escroquerie.
Les enquêteurs du 36, quai des Orfèvres se sont demandés si Gérard Lhéritier, le patron d’Aristophil, n’a pas usé de l’influence de l’ex pape du 20 heures de TF1 pour faire miroiter des taux d’intérêts généreux aux investisseurs ?
PPDA revient sur cette affaire. « Je ne me suis jamais retrouvé au 36, quai des Orfèvres. J’avais écrit à la juge à la suite d’un article fallacieux de L’Express », précise le journaliste. « J’ai pu m’expliquer hier matin devant les enquêteurs notamment sur le prêt qui m’avait été consenti à titre personnel par Gérard Lhéritier ».
PPDA avait besoin de liquidité après avoir perdu son procès contre TF1 après de longues années de bataille. Il avait été contraint de verser la somme de 417 000 euros à la chaine.
Il affirme qu’à ce jour une bonne partie de la somme a été remboursée.
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