Le phénix a fait l’objet d’une rumeur qui l’affirme fragilisé par par des ennuis de santé.
Sa fille, Lolita Séchan, brise le silence non pour compter ce bruit, mais de commenter l’article.
d’André Comte-Sponville : "Laissez-nous mourir comme nous voulons". A ses yeux, il fait briser le confinement.
"Pour moi tout est dit là. Mais je ne veux pas lancer de débat ou entendre qu’il faut protéger les vieux, nous protéger, alors je coupe les commentaires.
C’est juste mon ressenti, ressenti qui commence à être rage. Vous croyez que « les vieux » eux aussi ne préfèrent pas vivre que d’attendre la mort dans l’ennui et l’isolement ?", s’interroge Lolita Séchan, qui ne semble pas vivre un confinement serein dans son appartement parisien.
Elle n’en peut plus de cette terrible épreuve pour tout le monde, provoquée le fichu Covid.
"Vivre en se protégeant c’est à peine vivre. Nous sommes mortels. C’est pas nouveau. D’ici là, nous somme aussi libres. Normalement. Vivre terrés pour laisser au système de santé la possibilité de mettre en place des choses viables, oui, ok, mais ça va un temps. L’école de ma fille choisit de ne pas réouvrir", a-t-elle regretté.
"Encore une liberté qu’on nous retire, dont on prive nos enfants. Qu’y aura-t-il de différent en septembre ? Combien de temps va-t-on se cacher ?? J’ai nettement plus peur de ne pas vivre que de mourir".
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