Sophie Davant a fait sensation lors d’un mariage parisien, celui de Claude Lelouch, en dévoilant sans complexe sa cicatrice sur le bras.
Sophie Davant, l’animatrice de l’émission « Affaire conclue » sur France 2, semble avoir tout pour être heureuse professionnellement. Et en privé, ce serait encore mieux, surtout depuis qu’elle partage la vie de William Leymergie. Elle est épanouie.
Pourtant, comme le rapporte le magazine France Semaine, l’animatrice d’Affaire Conclue, l’émission d’enchère de France 2, garde au fond d’elle une blessure qui ne cicatrise pas.
Et elle a eu l’opportunité d’en parler dans une récente interview.
La fiancée de William Leymergie souffre du manque de sa mère , décédée trop tôt alors qu’elle n’avait que 20 ans.
Dans une interview accordée au magazine « Jours de France », elle explique que ce manque ne la quittera jamais.
« J’ai été confrontée très jeune au cancer de ma mère. J’ai su ce que c’était de ne pas avoir une vie légère avec des copains », disait Sophie Davant, maman de deux enfants, nés de son mariage avec Pierre Sled dont elle est désormais séparée.
« Quand on vit ce drame, qui provoque une fracture familiale terrible, et qu’on est confronté au deuil, on a souvent besoin de donner du sens à tout ça en s’investissant pour les autres », a-t-elle confié.
Sophie Davant est une femme admirative de ses parents qui lui « ont transmis des personnalités enrichissantes ».
Son père était un expert en biologie marine et en ornithologie, alors que sa mère était une chercheuse au CNRS, une femme indépendante financièrement et féministe qu’elle a toujours admirée ».
Elle aurait souhaité vivre encore de grands moments avec sa mère et regrette de ne pas avoir pu partager avec elle les moments importants de sa vie ».
« Je l’ai perdue à 20 ans, je n’ai pas pu partager avec elle ma vie de femme, mes grossesses, l’arrivée de mes enfants, mes bonheurs ou mes échecs amoureux. J’en ai souffert. Elle m’a manquée à toutes les étapes de ma vie », a-t-elle regretté.
Bien qu’elle ait réussi professionnellement, la blessure de Sophie Davant ne s’est jamais refermée. Elle a pourtant su se relever.
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