Sur le plateau de C l’hebdo sur France 5, la journaliste Charlotte Chaffanjon, qui officie à la rédaction de Libération, a apporté un éclairage sur les raisons qui ont poussé le procureur à révéler des détails intimes de la vie privée de Kendji Girac lors de sa conférence de presse. C’était pour protéger Soraya Miranda, la compagne de l’artiste.
Selon la journaliste, l’homme de loi visait surtout à la compagne de Kendji Girac de toute responsabilité dans la blessure par balle du chanteur.
En effet, la jeune femme était victime de "chantage affectif" de la part de Kendji Girac, ce qui la mettait hors de cause quant à l’intention de lui faire du mal. La séduisante brune aurait pu être visée par des menaces.
Repositionner Soraya Miranda comme victime dans cette affaire. Il était crucial, comme le précise Charlotte Chaffanjon dans le cadre de cette émission de France 5 pour le procureur de dissiper les soupçons qui pesaient sur elle, d’autant plus que de nombreux regards s’étaient tournés vers elle après la révélation de la blessure du chanteur.
Soraya Miranda, qui serait d’origine suisse, était la seule personne présente avec lui au moment du drame.
Rappeler que la thèse du tir d’une tierce personne n’était "pas compatible" avec les blessures de Kendji Girac.
« Simuler un suicide pour faire peur à sa femmequi a menacé de partir, ce n’est pas anodin quand on parle d’une star influente chez les jeunes « a également estimé la journaliste.