Fin avril 2024, Kendji Girac a défrayé la chronique en se tirant une balle dans la poitrine pour faire peur à sa femme, Soraya, la mère de sa fille, qui aurait menacé de le quitter. Une réalisatrice commente ce geste et évoque une torture psychologique pour sa chère et tendre.
Cet incident a en tout cas suscité de vives critiques, de nombreuses personnes s’inquiétant du bien-être de Girac et de l’impact potentiel de ses actes sur sa famille.
Andréa Bescond fait partie de ceux qui se sont élevés contre le comportement de Girac.
Dans une lettre ouverte partagée sur les réseaux sociaux, Bescond a condamné le comportement de Girac, le qualifiant de "torture psychologique" infligée à Soraya. Elle a souligné les effets néfastes de telles actions, en particulier dans le contexte des relations amoureuses et des familles.
« Tu es Kendji Girac. D’après les médias, tu t’es tiré une balle dans le corps pour mettre la pression à ta femme qui te fait des reproches sur ton comportement à risques. Sache que de menacer de se suicider quand un.e partenaire souhaite interrompre une relation, c’est une torture psychologique infligée à l’autre », a-t-elle indiqué dans un message publié sur sa page Instagram.
« S’il y a des enfants, c’est également une violence vicariante : la ’culpabilité’ ressentie par la mère vis-à-vis des enfants, le regard porté par la famille sur elle », ajoute la réalisatrice à propos du geste du coach de The Voice Kids.
Il aurait simulé un suicide pour faire peur à sa femme.
« Quand quelqu’un.e qu’on aime évoque la rupture, on travaille sur soi pour changer les choses et si on ne peut pas, on accepte car personne n’appartient à personne ».