Et en plus de Michel Drucker, qui ne le porte pas dans son coeur, le compagnon d’Alice Taglioni aurait un autre ennemi, qui n’est autre que Thomas Sotto.
Au delà de Drucker, il a beaucoup fait souffrir son joker du 20 heures, Thomas Sotto, rapporte l’hebdomadaire people.
"Enervé par ses bonnes audiences, Laurent ne le prévenait qu’à la dernière minute quand il partait en vacances pour l’empêcher de gérer son planning et préparer ses JT. Sympa", commente la publication.
Par ailleurs, malgré un recadrage de sa hiérarchie à France 2, Michel Drucker continue de balancer sur Laurent Delahousse lors d’un entretien accordé Télécâble Sat, après l’avoir chargé dans les colonnes du Parisien.
« Je ne me moquerais jamais d’un confrère qui n’a pas réussi son pari. Je sais combien la case de l’access-prime-time est difficile. Mais je ne vous cache pas qu’on me demande, deux ans après, de revenir l’après-midi, ça me fait plaisir. Je pensais avoir fait mon temps » a-t-il ainsi lancé.
De Laurent Delahousse, il en était aussi question lors d’un entretien avec le Parisien.
« De toute ma vie, je n’ai jamais critiqué un confrère, j’ai été d’une loyauté et d’une fidélité indéfectible au service public. Mais là, c’en est trop. Parce que Laurent Delahousse n’est pas un mec bien. Il a demandé ma place pendant près de dix ans. Chaque saison, il menaçait la direction de partir s’il n’avait pas le 19 heures alors que j’étais une locomotive pour son journal. Au départ, je ne le croyais pas. Jusqu’au jour où il l’a dit ouvertement. Ça m’a peiné. J’ai trouvé ça surréaliste », déclare le présentateur de « Vivement dimanche ».
Dans la foulée, il avait été recadré par le directeur exécutif en charge de l’information de France Télévisions.
« Il faut raison garder. La direction de l’information salue le travail de Laurent Delahousse, une figure emblématique et respectée de France Télévisions, de ses équipes et de la rédaction », a indiqué Yannick Letranchant.
Et poursuivre : « Chacun a sa place et son rôle sur le service public ».