Bien que le Palais ait déjà démenti ces allégations par le passé, notamment à l’aide d’un test ADN, cette ancienne continue de contester ce résultat et réclame un nouveau test de paternité.
Selon Bea Fiedler, sa relation avec le mari de Charlène de Monaco aurait débuté lors d’une rencontre dans un hôtel de Monaco.
A l’époque, le prince n’aurait pas assumé ses responsabilités, une situation qu’elle dit avoir dénoncée dès 1993, lorsqu’elle a pour la première fois évoqué publiquement la paternité présumée.
Malgré un test ADN réalisé ultérieurement qui excluait tout lien de parenté entre Albert et Daniel, Fiedler remet en question la validité de cette analyse.
Dans son dossier de plainte, évoqué par la version allemande de In Touch, elle affirme que le test en question n’aurait pas été réalisée dans des conditions vérifiables.
Le prince Albert, déjà reconnu comme père de deux enfants nés hors mariage – Jazmin Grace Grimaldi, née en 1992, et Alexandre Coste, né en 2003 –, n’a jamais reconnu le fils de Fiedler comme étant le sien.
Pour le Palais, cette affaire est cependant close. Un porte-parole s’était exprimé en 2006 pour mettre fin aux spéculations.
« Il n’y a pas d’autres enfants cachés du Prince. », était-il indiqué.