Une marche silencieuse pour la paix au Proche-Orient a rassemblé de nombreuses personnalités à Paris le 19 novembre. Si Isabelle Adjani était présente, Carla Bruni a marqué son absence d’une manière subtile sur Instagram.
Critiquée depuis la sortie de ’Merci pour ce moment’, Valérie Trierweiler peut compter sur Isabelle Adjani, qui s’est portée à son secours cette semaine.
Quelques jours après avoir évoqué l’affaire Nabilla dans les colonnes de ’Nice-Matin’, la comédienne réagit cette fois aux attaques dont l’ex première dame a été victime suite à la sortie de son brûlot, ’Merci pour ce moment’, où il est question de ses dix-huit mois à l’Elysée et sa relation tumultueuse avec François Hollande avec lequel elle est séparée en janvier dernier après sept ans de vie commune.
’Pourquoi la condamner ?, s’interroge la comédienne dans les colonnes de ’Point’ à propos de Valérie Trierweiler.
’Il y a quelque chose de barré dans sa démarche qui me plaît, et qui me plaît d’autant plus qu’elle déplaît aux autres’, a-t-elle indiqué.
’Tous ces gens qui prennent l’air affligé, indigné en évoquant son livre, ’quel mal elle fait à la France’, ça me fait tellement rire ! La France, elle est dans un tel état en ce moment, qu’est-ce que ça peut foutre que cette dame fasse un peu plus de dégâts ?’, s’interroge-t-elle ensuite.
Même si Isabelle Adjani soutient l’ex première dame, hors de question de considérer celle-ci comme une victime.
’Cette attitude de mépris, de condescendance à son égard, c’est si facile, comme s’il ne s’agissait que de la promotion narcissique d’une pauvre femme vulnérable’, dit-elle avant de conclure : "Mais enfin, c’est une femme de tête !’.
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