Durant sa relation avec Lenny Kravitz, qui a partagé sa vie dans les années 90 ans, Vanessa Paradis n’a pas eu besoin d’une armée d’assistantes à son service.
Vanessa Paradis a mis la pression sur François Damiens, afin que celui-ci accepte de se rejoindre à l’affiche de L’Arnacœur dont l’ex de Johnny Depp tenait l’affiche avec Romain Duris.
« Romain Duris et moi, on voulait absolument qu’il soit avec nous et Julie Ferrier dans L’Arnacœur », confie le comédienne et chanteuse de 42 ans.
« Lui n’avait pas encore dit oui et hésitait vraiment à accepter ce rôle dans une comédie romantique qui a très très bien fonctionné », poursuit-elle.
« Un soir, on l’a tous appelé et on a sorti plein d’arguments, on lui a mis la pression et on ne voulait pas le lâcher », se rappelle celle qui a fait une apparition avec sa fille la semaine dernière à l’occasion du vernissage « Mademoiselle Privé », organisée par Chanel à Londres.
« À la fin, il a dit oui. Lui et Romain Duris s’entendaient comme cul et chemise. Autant dire qu’on n’était pas très concentrés pendant le tournage, mais on s’est tellement amusés ! », glisse-t-elle.
Au cours de cet entretien, Vanessa Paradis a également salué les qualités de Benoît Poelvoorde.
« Nous avons commis ensemble ce film inclassable inspiré des séries B avec des méduses qui volaient : Atomik Circus . Lui était très copain avec les réalisateurs qu’il connaissait d’avant », dit-elle.
« Ça criait, ça hurlait de rire pendant ce tournage. Mais quand je m’approchais, il me parlait plus doucement, comme pour ne pas me brusquer. Il était d’une délicatesse avec moi... C’est un homme craquant et quel acteur ! Il m’a invitée à venir chez lui à Namur bien sûr. Mais je ne l’avais jamais fait avant ce coup de cœur du FIFF ».
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