Le réalisateur et écrivain de 43 ans en a déjà deux.
Cette confidence, le prétendu compagnon de Vanessa Paradis l’a faite dans les pages du JDD, où il était aussi question de sa période trouble, marquée par une grave dépression, et qui lui a inspiré son livre « Chien », adapté au cinéma. C’est sur le plateau de ce film tourné en octobre dernier à Bruxelles que Samuel Benchetrit a rencontré Vanessa Paradis.
« Il y a trois ans, j’ai fait une dépression. J’ai eu envie de me mettre au vert. La société n’attend rien d’un chien. Pas de problèmes d’argent, de passé ou d’ambition qui vous rattrapent. C’est l’idéal, a-t-il expliqué dans un premier temps. On attend sagement couché. En plus, il paraît que c’est le plus intelligent du règne animal : le chien a compris que l’homme le nourrirait ».
Même si Samuel Benchetrit aime cet animal, il n’en a jamais eu. En revanche, il aime les ânes. Deux lui avait été offert par son ex Anna Mouglalis, la mère de sa fille.
« Je les avais prénommés Albert et Herman. Les ânes sont comme les chiens, ils vous suivent partout. Je ne comprends pas l’expression "bête comme un âne bâté". Ils sont loin d’être bêtes, explique le réalisateur. « C’est une expression comme celle de "se conduire comme un porc". Pourquoi pas tout simplement ‘se conduire comme un homme’ ».