Maman de deux enfants en bas âge, Ophélie Meunier jongle entre sa vie professionnelle et sa vie de famille. Un équilibre parfois difficile à trouver, comme elle le confie dans une interview à Télé Star.
Invité sur le plateau de C8 dans Salut les Terriens samedi 16 avril, Vincent Lagaf s’en est pris à Ophélie Meunier, le présentatrice de Zone Interdite sur M6, dont il moque l’apparence physique.
Vincent Lagaf et les autres invités ont accepté de participer à un jeu initié par Thierry Ardisson dont l’objectif est de deviner les âges des personnalités à l’écran.
Interrogés à propos de Patrick Sébastien puis Ophélie Meunier, Vincent Lagaf s’est lâché sur l’animatrice de M6.
« C’est qui la dame ?, demande-t-il avant de balancer « Elle a morflé pour 29 ans quand même ! ».
Ce propos est loin d’être partagé par Clio Pajczer qui trouve quant à elle Ophélie Meunier « canon ».
Invité il y a quelques jours du Gros Journal présenté par Mouloud Achour sur Canal Plus, Vincent Lagaf a, on le rappelle, reconnu avoir pris la grosse tête suite au succès de son émission sur TF1, Le Bigdil.
Cette émission de divertissement, l’animateur l’avait présentée durant une dizaine d’années dans les années 90 et 2000. Et c’était un grand succès.
Il faisait à l’époque, en moyenne jusqu’à 11 millions de téléspectateurs.
Grisé par ce succès, Vincent Lagaf a reconnu avoir attrapé le melon.
« Quand on faisait Le Bigdil, on rendait l’antenne entre 8 et 9 millions de téléspectateurs. Et quand on a fait la 1000ème pendant deux jours d’affilée, on faisait 11 millions de téléspectateurs. (…) C’est grisant ! », racontait ainsi Vincent Lagaf.
« Moi j’ai pété un câble. Moi j’ai pris la grosse tête (…) C’est comme les joueurs de football, tu passes de ‘j’ai pas une thunes’ à ‘je suis pété de thunes ». Donc tu as un petit peu tendance à penser que le monde est à toi » avoue l’ancien animateur.
« J’étais capable de n’importe quoi. J’étais capable d’acheter une pizzeria parce que le pizzaïolo me gonflait ! (…) C’est vrai que j’ai pété les plombs avec les biens matériels », se rappelait Vincent Lagaf.
« C’était ce besoin d’avoir, de reconnaissance, de me dire ‘J’ai quelque chose, j’ai fabriqué quelque chose’. Et puis de fil en aiguille, je me suis aperçu que ce n’était pas d’avoir qui comptait… mais de se dire que tu pourrais faire si tu en avais envie », concluait Vincent Lagaf.
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