A 58 ans, Yannick Noah a pris quelques jours de vacances avec son épouse Isabelle et leur fils Joalukas aux Caraïbes.
Et il a photographié dans une situation gênante avec un parasol entre les jambes.
La photo a été publiée par le magazine « Ici Paris ».
« Il se détend comme il le peut. Même si pour faire la sieste avec un parasol contre les jambes va finir par être gênant. Surtout si l’engin de se déplie dangereusement », a commenté la publication.
Yannick Noah semble au mieux, après avoir perdu son père, Zacharie, dont il évoquait la disparition dans les colonnes du Parisien.
« Je suis dans une période particulière de ma vie, avec du recul sur plein de choses, où tu te dis qu’il y a plus important que le tennis. Et d’un autre côté, j’ai des responsabilités comme je n’en ai jamais eues dans le tennis français ! Le destin veut que tout s’enchaîne, confiait-il. Le bon côté, c’est que cela me permet de penser à autre chose et c’est très bien comme ça ».
Le fait d’enchainer ces activités lui permettait de penser à autre chose, et d’oublier la mort de son père, un ancien footballeur.
, Yannick Noah a pris quelques jours de vacances avec son épouse Isabelle et leur fils Joalukas aux Caraïbes.
Et il a photographié dans une situation gênante avec un parasol entre les jambes.
La photo a été publiée par le magazine « Ici Paris ».
« Il se détend comme il le peut. Même si pour faire la sieste avec un parasol contre les jambes va finir par être gênant. Surtout si l’engin de se déplie dangereusement », a commenté la publication.
Yannick Noah semble au mieux, après avoir perdu son père, Zacharie, dont il évoquait la disparition dans les colonnes du Parisien.
« Je suis dans une période particulière de ma vie, avec du recul sur plein de choses, où tu te dis qu’il y a plus important que le tennis. Et d’un autre côté, j’ai des responsabilités comme je n’en ai jamais eues dans le tennis français ! Le destin veut que tout s’enchaîne, confiait-il. Le bon côté, c’est que cela me permet de penser à autre chose et c’est très bien comme ça ».
Le fait d’enchainer ces activités lui permettait de penser à autre chose, et d’oublier la mort de son père, un ancien footballeur.
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