Ce dimanche, l’Alsace a vibré au rythme de la présence du prince Albert II de Monaco. Accompagné de la princesse Charlène, son épouse, le prince souverain a foulé le sol alsacien pour célébrer un événement historique.
Face à une accusation d’une Brésilienne d’une trentaine d’années prétendant qu’il est le père de sa fille Celia, le prince Albert de Monaco a choisi une méthode radicale : son immunité diplomatique.
Le magazine Gala qui revient sur cette querelle judiciaire qui serait à l’origine de l’exil de Charlène de Monaco en Afrique du Sud, en dit un peu plus sur cette ligne de défense.
Hors de question pour le souverain du Rocher de s’embraquer dans cette affaire, perçue au Palais comme une tentative d’extorsion de fonds .
Le conseil du prince Albert de Monaco affirme en effet que la requête en reconnaissance de paternité à l’encontre du souverain est totalement infondée.
L’audience qui était prévue en février dernier devant le tribunal de Milan a été ajournée. C’est un mois plus tard que la maman des Jacques et Gabriella a quitté le Rocher pour s’envoler en Afrique du Sud pour assister aux funérailles du roi Zoulou duquel elle était proche. Elle n’a plus été revue en principauté.
Dans cette affaire de reconnaissance de paternité, Albert de Monaco a brandi l’immunité diplomatique.
Concrètement, il ne pourrait comparaitre devant les juges et la justice italienne pourrait se déclarer incompétente dans cette affaire.
Pour l’avocat du prince, le recours à cette immunité vise à « assurer la continuité du pouvoir à Monaco ».
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