Après le magazine Public, c’est au tour du magazine Elle de se demander s’elle va rentrer un jour.
« L’échéance que tout le monde a en tête, c’est le 19 novembre, jour de la fête nationale. Son absence serait perçue comme définitive et déjà, les bonnes âmes commencent à jaser », rappelle l’édition en ligne.
Après une absence de plus de dix mois, officiellement pour des raisons médicales, les Monégasques ne croient plus du tout à la version officielle. Une crise conjugale est alimentée.
Le Palais princier de Monaco a mal géré cette histoire.
« Personne ne croit la version officielle ! La communication est catastrophique et ça empire de jour en jour ! », a déploré une résidente.
Un bafouillage dans la communication du Palais est rappelé.
« Comment expliquer que le week-end du 10 octobre, tandis que Charlène subissait une nouvelle opération chirurgicale sous anesthésie générale, son mari posait pour les photographes en Bourgogne, à 12 000 km d’elle, en tant que président d’honneur… du championnat du monde de l’œuf en meurette ? », s’interroge la publication.
« Même si la princesse ne peut pas prendre l’avion, personne, depuis le mois de mai n’a donc pensé à la rapatrier en bateau médicalisé près de ses enfants ? Ce ne serait pas plutôt elle qui ne veut plus rentrer ? », s’interroge une source.