Un peu de répit pour Anne-Sophie Lapix. Selon Le Parisien, repris par Public, trois nouvelles personnes ont été interpellées dans le cadre de l’enquête sur les cambriolages qui ont touché son domicile du 16ᵉ arrondissement de Paris.
En confidence avec Satellifax, Anne-Sophie Lapix a déploré les critiques dont elle est régulièrement la cible, notamment lorsqu’elle a interviewé le ministre Jean Castex. Sur les réseaux, il est reproché son sourire, perçu comme moqueur. Une décision radicale a été prises. Elle ne sourit plus.
« Tout sourire dans une interview politique peut être interprété comme de la moquerie, un manque de respect », explique la journaliste star de France 2, reconnaissant se « faire surprendre à chaque fois ».
Et ce fut le cas lorsqu’elle a interrogé Jean Castex en mai dernier.
« Sur le plateau, cela s’est pourtant super bien passé. Nous avons échangé deux mots sur le Pays basque, où nous avons des attaches. Je n’ai pas le sentiment qu’il se soit senti agressé », a indiqué la complice de Laurent Delahousse.
« Sourire, cela fait partie de mon éducation, c’est une politesse. Il ne faut pas devenir quelqu’un d’autre que soi-même », estime Anne-Sophie Lapix, qui a fini par prendre une décision radicale pour son interview du président de la République avec Gilles Bouleau cet automne.
« Je me forçais à ne pas sourire, à prendre une tête de mater dolorosa. De même, je prends soin désormais de retirer toute ironie dans mes question », a-t-elle indiqué.
nce avec Satellifax, Anne-Sophie Lapix a déploré les critiques dont elle est régulièrement la cible, notamment lorsqu’elle a interviewé le ministre Jean Castex. Sur les réseaux, il est reproché son sourire, perçu comme moqueur. Une décision radicale a été prises. Elle ne sourit plus.
« Tout sourire dans une interview politique peut être interprété comme de la moquerie, un manque de respect », explique la journaliste star de France 2, reconnaissant se « faire surprendre à chaque fois ».
Et ce fut le cas lorsqu’elle a interrogé Jean Castex en mai dernier.
« Sur le plateau, cela s’est pourtant super bien passé. Nous avons échangé deux mots sur le Pays basque, où nous avons des attaches. Je n’ai pas le sentiment qu’il se soit senti agressé », a indiqué la complice de Laurent Delahousse.
« Sourire, cela fait partie de mon éducation, c’est une politesse. Il ne faut pas devenir quelqu’un d’autre que soi-même », estime Anne-Sophie Lapix, qui a fini par prendre une décision radicale pour son interview du président de la République avec Gilles Bouleau cet automne.
« Je me forçais à ne pas sourire, à prendre une tête de mater dolorosa. De même, je prends soin désormais de retirer toute ironie dans mes question », a-t-elle indiqué.
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