Le 27 octobre, Le Monde a publié une enquête révélant une potentielle faille de sécurité impliquant les gardes du corps du président Emmanuel Macron.
Porte-parole de la cause animale, Brigitte Bardot est loin de regretter son tacle contre Brigitte Macron et encore moins contre le chef de l’Etat, qu’elle a qualifié de soumis.
La première dame a quant à elle été qualifiée d’insignifiante.
"J’ai l’habitude de m’adresser au bon Dieu plutôt qu’à ses saints", lançait Brigitte Bardot. Déjà quand le bon Dieu est au pouvoir, il ne fait rien, imaginez les autres, c’est zéro multiplié par zéro ».
Interrogée sur ses multiples dérapages par le magazine Point de Vue, l’icône du cinéma affirme qu’elle ne les regrette et si c’était à refaire, elle referait exactement la même chose.
Brigitte Bardot reconnait que la célébrité et à la fois pesante et un énorme atout, et sans cette notoriété, elle aurait été inutile à la cause animale.
"Déjà qu’avec la notoriété que j’ai, ce n’est pas simple alors si j’étais une illustre inconnue. Si je dénonce le sort des animaux d’abattoirs ou la cruauté de la chasse, tout le monde me tombe dessus sur le poil, mais au moins, ça donne l’exemple", indique-t-elle.
Et à ses yeux, c’est la preuve qu’elle ne s’est pas plantée de chemin.
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