Il est reproché à la porte-parole de la cause animale un éditorial d’octobre 2019, toujours accessible sur le site Internet de sa Fondation.
Elle qualifiait seconde les chasseurs de « sous-hommes d’une abjecte lâcheté », avant d’aller plus loin en les traitant de terroristes du monde animal », citant Monsieur Schraen, comme « exemple flagrant ».
Cette décision de justice a ravi l’avocat des chasseurs, Denis Delcourt-Poudenx, qui a dénoncé les « propos particulièrement violents, à la sémantique nazie odieuse et inquiétante », de Brigitte Bardot.
Mais cette décision n’a pas été appréciée par l’ex-légende de cinéma.
« Je préfère aller en prison que de donner un sou aux chasseurs », a-t-elle lâché sur Twitter. « À la suite du procès que les chasseurs m’ont fait, je ne laisserai pas passer que l’on m’ait traitée de nazie ».
« Je préfère aller en prison que de donner un sou aux chasseurs », refusant ainsi de payer l’amende.
Elle est contrainte de supprimer l’éditorial sous peine de payer 100 euros par jour de retard.
">June 30, 2021