Bernard Montiel s’est porté au secours de Brigitte Macron, ciblée par la presse américaine suite à ses déclarations sur Emmanuel Macron. Elle était sa professeur de théâtre au lycée Providence à Amiens.
Très mobilisée pour Emmanuel Macron dans la perspective de la prochaine campagne présidentielle, Brigitte Macron verrait sans doute d’un bon oeil la mise à l’écart d’un sérieux rival.
Et le rival en question est Nicolas Sarkozy, condamné à trois ans de prison dont un an ferme dans l’affaire des écoutes.
Cette analyse est livrée par Jean-Luc Mélenchon, le président de la France insoumise, dans le cadre de « Dimanche en politique », l’émission diffusée sur France 3.
« C’est-à-dire que Macron est débarrassé de la personne qui lui posait le plus de problème », a-t-il affirmé. « Cela fait trois ans maintenant que monsieur Macron essaie d’être le chef de la droite. Il y est bien arrivé, mais pas tout à fait ».
Sur sa route se dressait Nicolas Sarkozy, qui s’il devait se présenter à la présidence de la république, il aurait pris toute la lumière, et rassemblé son camp ».
« Vous avez observé à la dernière élection que monsieur Fillon, en dépit d’une situation absolument inouïe et jamais vue, mis en examen en pleine campagne électorale, a quand même fait 20 % des voix. Donc la droite est une réalité en France. Elle a un poids historique", a-t-il indiqué.
Emmanuel Macron serait donc en bonnes dispositions pour sa réélection.
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