"On n’a pas été élus parce que les Français sont cons ! », a lancé Brigitte Gazel, candidate malheureuse aux départementales en Haute-Garonne. Elle a perdu face à l’union de la gauche. Et pour remonter le score du parti de Marine Le Pen, elle évoque l’éventualité d’un attentat.
« Il faut vivre au jour le jour. D’ici à la présidentielle, il y aura bien des attentats ! », lâche-t-elle, rejoignant en cela une sombre prédiction de Jean-Luc Mélenchon dans « Questions politiques » diffusée par France Info.
Le député LFI estime dans un premier temps souhaitable la candidature d’Emmanuel Macron.
« Sinon, on nous sort un autre petit Macron du chapeau », lançait-il. On ne sait pas qui c’est, pouf, il se fait élire président. C’est le système qui l’invente. ».
Il affirme que tout serait écrit d’avance avant de livrer une sombre prédiction, durant la dernière semaine de la campagne présidentielle, « un grave incident ou un meurtre ».
« Ça a été Merah en 2012, l’auteur des des tueries de Toulouse et de Montauban), ça a été l’attentat la dernière semaine sur les Champs-Élysées (en 2017), avant on avait eu Papy Voise (NDLR : retraité agressé chez lui à Orléans en 2012).
dont plus personne n’a jamais entendu parler après. Tout ça, c’est écrit d’avance ».