Même s’elle a été première-dame, Carla Bruni n’a jamais copiné avec aucune personnalité politique, rappelle Gala, qui la prétend libérée par la défaite de son mari Nicolas Sarkozy à la primaire de la droite.
« Sa fugace complicité avec Nathalie Kosciusko-Morizet s’est éteinte, dès que celle-ci a pris ses distances avec Nicolas Sarkozy », rappelle dans un premier temps l’hebdomadaire.
Et de préciser ensuite que celle qui est habituée à recevoir les critiques musicaux dans son hôtel particulier de la porte d’Auteuil « s’est toujours soigneusement tenue à distance des éditorialistes politiques ».
« La violence de ce milieu l’a heurtée. En privé, elle n’a jamais mâché ses mots à l’encontre des adversaires de son mari », précise par ailleurs la publication.
Gala affirme que sa chanson Le Pingouin, dans laquelle elle se moque de François Hollande
« est très light par rapport à ce qu’elle a pu dire de lui ».
Si Carla Sarkozy s’est engagée dans la politique, c’est surtout pour Nicolas Sarkozy.
Suite à la défaite de son mari à la primaire, une page est donc tournée. « Son message est clair : Carla, militante sarkozyste oui, militante Les Républicains, non ».
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