Carla Bruni a récemment pris la défense de Flavie Flament, critiquée pour son apparence physique, en exprimant son soutien lors d’un coup de gueule sur Instagram.
L’ex patron de « Gala », Philippe Labi publiera ce jeudi chez First Document, ’Vie Privée-Vie Publique’, dans lequel il évoque les secrets de la fonction Présidentielle.
Pour l’occasion, les confidences de Carla Bruni-Sarkozy ont été relayées. L’ex première-dame a pour la première fois évoqué ’Merci pour ce moment’, le brûlot de Valérie Trierweiler, où il était question de ses dix-huit mois passés à l’Elysée, et de sa relation tumultueuse avec François Hollande.
’Ce livre de Valérie Trierweiler m’a semblé une mise au point. Il répond d’abord à une humiliation. L’infidélité, c’est déjà quelque chose de douloureux’, confie la chanteuse, dont le retour dans les bacs est prévu pour l’automne prochain.
’Alors lorsque cette infidélité est publique, ça double la peine en quelque sorte.
On se sent humilié. Valérie Trierweiler est une femme de son temps qui a été placée dans un endroit sans y avoir été préparée. C’est une journaliste pas une personnalité publique’, glisse-t-elle.
’Elle ne connaissait pas ces vagues incessantes de médisances et de diffamations.
Elle n’était pas en position de légitimité, n’étant ni mariée ni pacsée.
Dans un endroit aussi protocolaire que l’Élysée c’est délicat’, estime Carla Bruni-Sarkozy.
’Elle s’est donc sentie extrêmement seule. Ses difficultés viennent de là, je crois.
Ce n’est pas un endroit où l’on peut aller sans amour. Voilà, à mon sens, ce que raconte son livre. Et quand, en prime, cette histoire est arrivée, elle a craqué.
Elle a été dévastée’, rappelle l’épouse de Nicolas Sarkozy dont les qualités ont été saluées dans ’Merci pour ce moment’. ’Aucune femme n’aurait tenu le choc’.
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